Histoires de la région de Moosalp

Le conseiller fédéral Guy Parmelin a honoré lundi à Berne Amadé Kalbermatten, cuisinier et propriétaire du restaurant Moosalp, en lui remettant le prix "Mérites culinaires suisses". Avec ce prix, Kalbermatten rejoint des cuisiniers célèbres comme Andreas Caminada, Irma Dütsch ou Anton Mosimann.

Kilian Frankiny a récemment mis un terme à sa carrière de coureur cycliste professionnel. Mais sa passion pour le cyclisme demeure. Cette passion, Frankiny veut la partager cet été en tant qu'ambassadeur de l'arrivée du Tour de Suisse sur la Moosalp. Le Haut-Valaisan s'attend à une arrivée d'étape passionnante, comme il le raconte dans l'interview.

La tulipe des Alpes du Sud est aussi rare qu'un sixième au loto. Ce n'est pas le cas à Törbel. Sur les versants ensoleillés de la région de Moosal, cette tulipe extrêmement rare se sent chez elle. Avec les premiers rayons de soleil doux du maïs, de petites têtes florales dorées s'ouvrent dans plusieurs prairies de montagne et apportent les premières touches de couleur à la nature. Regardons de plus près la tulipe des Alpes du Sud.

Juliette Barbier était une citadine. Une "gamine parisienne". Toujours sur le qui-vive, toujours un peu busy. Puis elle est arrivée à Bürchen. De la métropole française au paisible village de montagne.

Cycliste amateur confortable, cycliste de course avide de dénivelé ou pilote d'e-bike endiablé. "Ride the Alps" est un plaisir pour tous. Le dimanche 6 juin, la série d'événements qui permet aux cyclistes de franchir les cols alpins sans voiture fera halte dans la région de Moosalp. L'ancien skieur suisse Didier Défago sera au départ. "Je me réjouis de me rendre à Moosalp", déclare-t-il dans une interview.

La nouvelle année est jeune. Nous profitons de la neige, du soleil, de l'hiver. Nous avons devant nous douze mois remplis d'expériences inoubliables, de performances sportives de haut niveau ou de plaisirs reposants. Notre aperçu d'une année 2022 passionnante.

Lorsqu'on se promène dans la région de Moosal, on ne trouve pas seulement des vaches, des moutons ou des chèvres col noir valaisannes dans les prairies de montagne verdoyantes. Au Trieguhof de Matthias et Sandra Gattlen à Bürchen, de gros bovins Galloway paissent tranquillement et avec frugalité.

Le chemin de la vie les a éloignés de la région de Moosal. En raison de leur travail, ils habitent aujourd'hui à Bâle plutôt qu'à Bürchen - ou en Thurgovie plutôt qu'à Törbel. Mais dans leur cœur, la région de Moosal reste à jamais leur patrie. C'est aussi le cas de Jan Karlen. Pour lui, ce sont ses parents qui ont émigré à Zurich. Aujourd'hui, Jan dit de lui-même : "Ich bi es Terbjer Heimweh-Chieli !

Lorsque Simon Ruff pédale, il accomplit des prouesses presque inhumaines. En tant qu'ultra-cycliste, le Törbjer participe à des courses au cours desquelles il parcourt 1000 kilomètres et franchit plusieurs cols alpins. Sans interruption ! Le parcours natal du multiple champion du monde d'ultracyclisme reste toutefois le passage par la Moosalp.

La région de Moosalp est l'endroit idéal pour laisser le quotidien derrière soi. "Hiä chusch ämbri". Mais le week-end prochain, nous nous échapperons et ferons trembler la région de Moosalp lors du Migros Hiking Sound. Les 17 et 18 juillet, nous nous réjouissons de vivre une expérience de randonnée et de musique dans un magnifique décor de montagne. Sur la scène du Hiking Sounds, le musicien suisse Adrian Stern, entre autres, enchantera les visiteurs. "Je me réjouis énormément de venir à Moosalp", déclare-t-il dans l'interview qu'il nous a accordée.

Une saison d'hiver exceptionnelle touche à sa fin. Le week-end dernier, l'activité de ski a cessé comme prévu dans la région de Moosalp. Mais les effets de Corona laissent aussi des traces dans la région de Moosalp. Nous avons pris rendez-vous sur le "Ober Arb" pour un entretien au sommet avec Selina Döringer, directrice de la société Moosalp Bergbahnen AG.

Tout petit déjà, Beat Gattlen rêvait de devenir un jour skieur de piste. Son rêve s'est réalisé. Depuis maintenant 30 hivers, ce natif de Bürchner prépare les pistes de la région de Moosalp avec un grand sens de la machine.

Lors d'une interview de Stefan Eggli avec les deux skieurs Ramon Zenhäusern et Silvan Zurbriggen, le terme "Moosalpregion" est revenu à plusieurs reprises. Une interview qui a eu des conséquences. Car depuis, le journaliste sportif et toute sa famille passent la plus belle période de l'année dans la région de Moosalp. Mais comment en est-on arrivé là ?

Le samedi 18 décembre, la région de Moosalp débutera la saison hivernale. Avec des forêts profondément enneigées. Les pistes sont préparées pour nos plaisirs de la glisse - même avec de la neige artificielle. Peu avant le début de la saison, nous jetons un coup d'œil dans les coulisses des créateurs silencieux du tapis blanc de neige artificielle.

C'est en s'exerçant tôt que l'on devient le prochain Ramon Zenhäusern. Celui qui effectue ses premiers virages sur la neige avec l'école de sports de neige de la région de Moosalp peut compter sur le savoir-faire des cracks du ski. C'est le cas d'Ines Lengen, la directrice de l'école de sports de neige.

La neige commence à tomber. Les forêts sombres de la région de Moosal deviennent de plus en plus blanches. La neige fraîche s'accumule sur les branches. Les moteurs des dameuses tournent. Nous sommes prêts à ouvrir la saison d'hiver le 18 décembre. Nous te donnons 5 raisons pour lesquelles tes vacances dans la région de Moosalp resteront inoubliables.

Patrick Gruber a lancé en 2016, avec des collègues du Lions Club, la course de vélo de bienfaisance "Bärgüf". Cette manifestation destinée à récolter des fonds, qui va de Stalden à la Moosalp en passant par Törbel, s'engage en faveur des personnes atteintes d'un cancer et fait partie intégrante de l'agenda du Haut-Valais. Corona ne permet pas d'organiser de grandes manifestations. Conformément à la devise #gibnitüf, "Bärgüf" aura tout de même lieu en 2021 - et ce de manière plus émotionnelle et plus longue que jamais. Nous racontons l'histoire de Bärgüf depuis le début.

C'est l'odeur bien connue du cuir qui fait revivre à plus d'un "terbji" des souvenirs lorsqu'il entre dans la petite cordonnerie au cœur du village. A l'époque où il semblait y avoir tant d'avenir et si peu de passé. Peu de choses ont changé pendant toutes ces années dans l'atelier de Fällach - cloches de vaches, chaussures à réparer, courroies de cloches - il y a une sorte de "désordre dans l'ordre" que seul l'artiste lui-même connaissait et dont la passion pour l'artisanat était littéralement palpable - jusqu'à aujourd'hui.